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<p>La présente Norme internationale décrit une méthode d'essai fondée sur l'utilisation d'un instrument de détection</p>
<p>électronique de l'hydrogène en vue de mesurer la concentration relative de l'hydrogène diffusable dans les aciers</p>
<p>non revêtus, ou dans les aciers revêtus après décapage. L'hydrogène est supposé réparti de façon uniforme dans la</p>
<p>pièce considérée.</p>
<p>La méthode exposée ne permet pas de mesurer les concentrations réelles en hydrogène. Cependant, les densités</p>
<p>de courant d'oxydation mesurées en fonction du temps fournissent des indications utiles concernant les</p>
<p>concentrations relatives en hydrogène et, par conséquent, les résultats des mesurages effectués peuvent être</p>
<p>utilisés à des fins de comparaison. Cette méthode peut être utilisée dans le cadre d'une procédure de maîtrise de la</p>
<p>qualité, car elle fournit un moyen rapide de mesurer l'efficacité des traitements thermiques avant et/ou après</p>
<p>revêtement ou de contrôler le dépôt d'hydrogène au cours du revêtement ou sous l'action de la corrosion.</p>
<p>Il est important de noter que l'absence de défaillance au cours d'un essai donné n'apporte pas la confirmation de</p>
<p>l'élimination complète du risque de fragilisation par l'hydrogène, dans la mesure où aucune méthode d'essai ne</p>
<p>fournit les données nécessaires à l'estimation du degré de dégradation par l'hydrogène.</p>
<p>Pour les pièces non revêtues, la méthode est non destructive; cependant, dans le cas des pièces revêtues, le</p>
<p>revêtement doit être éliminé avant les mesurages, selon une méthode dont il est avéré qu'elle n'endommage pas</p>
<p>l'acier et ne favorise pas l'introduction d'hydrogène.</p>
<p>La présente méthode d'essai se limite</p>
<p>— aux aciers au carbone et aciers alliés, à l'exception des aciers austénitiques inoxydables (voir note 1);</p>
<p>— aux éprouvettes plates auxquelles on peut fixer une cellule d'essai (voir note 2);</p>
<p>— aux mesurages effectués à température ambiante .</p>
<p>NOTE 1 Si cette méthode est utilisée pour les aciers austénitiques inoxydables et autres alliages à structure cubique à faces</p>
<p>centrées (CFC), les temps de mesurage et l'interprétation des résultats devront être déterminés en fonction des différentes</p>
<p>vitesses de réaction constatées.</p>
<p>NOTE 2 Pour les surfaces légèrement incurvées, il faut définir une zone qui soit reproductible. Le calcul de la superficie de cette</p>
<p>zone sera différent du calcul décrit dans la présente Norme internationale.</p>
<p>NOTE 3 Cette méthode est applicable aux pièces de petite taille; cependant, il faut alors apporter des modifications à la</p>
<p>technique et au mode opératoire utilisés, ainsi qu'à l'interprétation des résultats.</p>
Reģistrācijas numurs (WIID)
25688
Darbības sfēra
<p>La présente Norme internationale décrit une méthode d'essai fondée sur l'utilisation d'un instrument de détection</p>
<p>électronique de l'hydrogène en vue de mesurer la concentration relative de l'hydrogène diffusable dans les aciers</p>
<p>non revêtus, ou dans les aciers revêtus après décapage. L'hydrogène est supposé réparti de façon uniforme dans la</p>
<p>pièce considérée.</p>
<p>La méthode exposée ne permet pas de mesurer les concentrations réelles en hydrogène. Cependant, les densités</p>
<p>de courant d'oxydation mesurées en fonction du temps fournissent des indications utiles concernant les</p>
<p>concentrations relatives en hydrogène et, par conséquent, les résultats des mesurages effectués peuvent être</p>
<p>utilisés à des fins de comparaison. Cette méthode peut être utilisée dans le cadre d'une procédure de maîtrise de la</p>
<p>qualité, car elle fournit un moyen rapide de mesurer l'efficacité des traitements thermiques avant et/ou après</p>
<p>revêtement ou de contrôler le dépôt d'hydrogène au cours du revêtement ou sous l'action de la corrosion.</p>
<p>Il est important de noter que l'absence de défaillance au cours d'un essai donné n'apporte pas la confirmation de</p>
<p>l'élimination complète du risque de fragilisation par l'hydrogène, dans la mesure où aucune méthode d'essai ne</p>
<p>fournit les données nécessaires à l'estimation du degré de dégradation par l'hydrogène.</p>
<p>Pour les pièces non revêtues, la méthode est non destructive; cependant, dans le cas des pièces revêtues, le</p>
<p>revêtement doit être éliminé avant les mesurages, selon une méthode dont il est avéré qu'elle n'endommage pas</p>
<p>l'acier et ne favorise pas l'introduction d'hydrogène.</p>
<p>La présente méthode d'essai se limite</p>
<p>— aux aciers au carbone et aciers alliés, à l'exception des aciers austénitiques inoxydables (voir note 1);</p>
<p>— aux éprouvettes plates auxquelles on peut fixer une cellule d'essai (voir note 2);</p>
<p>— aux mesurages effectués à température ambiante .</p>
<p>NOTE 1 Si cette méthode est utilisée pour les aciers austénitiques inoxydables et autres alliages à structure cubique à faces</p>
<p>centrées (CFC), les temps de mesurage et l'interprétation des résultats devront être déterminés en fonction des différentes</p>
<p>vitesses de réaction constatées.</p>
<p>NOTE 2 Pour les surfaces légèrement incurvées, il faut définir une zone qui soit reproductible. Le calcul de la superficie de cette</p>
<p>zone sera différent du calcul décrit dans la présente Norme internationale.</p>
<p>NOTE 3 Cette méthode est applicable aux pièces de petite taille; cependant, il faut alors apporter des modifications à la</p>
<p>technique et au mode opératoire utilisés, ainsi qu'à l'interprétation des résultats.</p>