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Le broyage à sec et le broyage par voie humide ont fait l'objet d'une comparaison réalisée en considérant
cette étape de broyage préalablement à l'analyse des mycotoxines. Cette comparaison s'inscrivait dans le
respect de la législation CE qui consiste à appliquer des programmes sur des échantillons jusqu'à 30 kg. Des
échantillons de cacao, de café vert, d'amandes et de pistaches de 10 kg ont été broyés au moyen d'un
broyeur RAS et les trois sous-échantillons ont fait l'objet d'une analyse complète pour déterminer la teneur en
aflatoxine B1 ou en ochratoxine A. Les distributions granulométriques des deux types de broyage expliquent
les différences au niveau des résultats des analyses. Les données obtenues sont comparées aux données
bibliographiques concernant les coefficients de variation (CV) pour diverses procédures de broyage. Dans le
cas du broyage à sec, les valeurs de coefficient de variation n'étaient en règle générale pas inférieures à 20 %
pour des niveaux d'aflatoxine B 1 jusqu'à 38 µg/kg dans les cacahuètes, tandis que le broyage par voie humide
pouvait donner des valeurs de coefficient de variation inférieures à 5 % pour des niveaux d'aflatoxine B 1
jusqu'à 4 µg/kg dans les pistaches. Les dosages ont également montré une différence éventuelle de teneur
en mycotoxines d'un échantillon, entre les deux types de broyage. Ceci pourrait entraîner des résultats faux
positifs ou négatifs lors du rejet ou de l'acceptation d'un lot, dans la mesure où ces procédés sont basés sur le
résultat fourni par l'échantillon. Il en a été conclu que les pâtes obtenues par voie humide contiennent des
particules plus petites que les échantillons broyés à sec, et génèrent ainsi les plus faibles valeurs de
coefficient de variation possible qui, à leur tour, donnent lieu à une meilleure homogénéisation des
échantillons.
Reģistrācijas numurs (WIID)
25275
Darbības sfēra
Le broyage à sec et le broyage par voie humide ont fait l'objet d'une comparaison réalisée en considérant
cette étape de broyage préalablement à l'analyse des mycotoxines. Cette comparaison s'inscrivait dans le
respect de la législation CE qui consiste à appliquer des programmes sur des échantillons jusqu'à 30 kg. Des
échantillons de cacao, de café vert, d'amandes et de pistaches de 10 kg ont été broyés au moyen d'un
broyeur RAS et les trois sous-échantillons ont fait l'objet d'une analyse complète pour déterminer la teneur en
aflatoxine B1 ou en ochratoxine A. Les distributions granulométriques des deux types de broyage expliquent
les différences au niveau des résultats des analyses. Les données obtenues sont comparées aux données
bibliographiques concernant les coefficients de variation (CV) pour diverses procédures de broyage. Dans le
cas du broyage à sec, les valeurs de coefficient de variation n'étaient en règle générale pas inférieures à 20 %
pour des niveaux d'aflatoxine B 1 jusqu'à 38 µg/kg dans les cacahuètes, tandis que le broyage par voie humide
pouvait donner des valeurs de coefficient de variation inférieures à 5 % pour des niveaux d'aflatoxine B 1
jusqu'à 4 µg/kg dans les pistaches. Les dosages ont également montré une différence éventuelle de teneur
en mycotoxines d'un échantillon, entre les deux types de broyage. Ceci pourrait entraîner des résultats faux
positifs ou négatifs lors du rejet ou de l'acceptation d'un lot, dans la mesure où ces procédés sont basés sur le
résultat fourni par l'échantillon. Il en a été conclu que les pâtes obtenues par voie humide contiennent des
particules plus petites que les échantillons broyés à sec, et génèrent ainsi les plus faibles valeurs de
coefficient de variation possible qui, à leur tour, donnent lieu à une meilleure homogénéisation des
échantillons.